Phase 3 du G1000: un panel citoyen avec 32 participants Ce vendredi 14 septembre, la troisième phase du G1000 débute ! Comme vous le savez, le G1000

   
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Phase 3 du G1000: un panel citoyen avec 32 participants

Ce vendredi 14 septembre, la troisième phase du G1000 débute ! Comme vous le savez, le G1000 respose sur un processus (une sorte d’entonoir) en trois phases : une large consultation en ligne, suivie d’un sommet citoyen qui s’est tenu le 11 novembre l’année passée, complété par un panel de citoyens composé de 32 personnes dont l’objectif est de proposer des recommandations concrètes.
Lors du sommet citoyen du G1000, plusieurs thématiques importantes ont été débattues par les 704 participants. Partant de ces résultats, 32 d’entre eux vont maintenant au cours de trois week-ends de délibération réfléchir à des recommandations concretès.

Le thème
Pour cette troisième phase du G1000, les participants sont vraiment au coeur du processus. C’est pourquoi, c’est à eux qu’il revient de définir le thème, la question qu’ils souhaitent traiter en profondeur. Cet été, il leur a donc été demandé de choisir parmi les thèmes et sous-thèmes ayant été discutés lors du G1000, ceux qu'ils souhaiteraient le plus aborder lors de la troisième phase et de justifier leur choix. Pour les aider à faire ce choix, l’ensemble des flipcharts (sur lesquels toutes les idées qui étaient apparues lors du sommet citoyen ont été notées) ont été analysés et une synthèse a ainsi pu être proposée aux citoyens.
Grâce aux avis des 32 citoyens participant, c’est la question de “avec ou sans emploi, comment aborder le travail dans notre société ? “ qui va servir de base à leurs réflexions.

Pourquoi un seul thème ? (et non pas l’ensemble des trois thèmes discutés lors du sommet citoyen)

La réponse est simple : le G1000 est un processus en entonoir. Au départ, la récolte des idées a été la plus large possible (plusieurs milliers d’idées), dont a été issu un top 25 qui a permis, suite au vote de plus de 5000 personnes à l’ordre du jour du sommet citoyen : la sécurité sociale, la répartition des richesses en temps de crise et l’immigration + un quatrième thème choisi par table. Les échanges du 11 novembre ont permis de dégager les préférences des uns et des autres et de discuter des mesures possibles.

Maintenant, la troisième phase du G1000 va aller encore plus en profondeur : les 32 citoyens vont réfléchir à des recommandations concrètes. Pour se faire, il ne leur était pas possible de traiter en profondeur l’ensemble des thèmes discutés lors du sommet citoyen (et encore moins de toutes les idées récoltées lors de la consultation de la première phase). Mais évidemment, cette question de départ est une porte d’entrée à des réflexions plus larges, en connexion avec tous les thèmes évoqués lors du G1000 jusqu’à présent. Les participants se serviront d’ailleurs des résultats des phases précédentes. C’est donc bel et bien un processus en entonoir, où à chaque étape on va plus en pronfondeur.

La troisième phase se déroule selon une méthode largement expérimentée à travers le monde: un panel citoyen (également appelé conférence citoyenne). Les citoyens sont amenés à délibérer sur une thématique, tout en recevant l'information nécessaire, afin de remettre au terme du processus un avis avec des recommandations.

Ce processus se déroule en trois week-ends, encadrés par une équipe expérimentée dont le rôle est de faciliter le processus.

L’objectif du premier week-end (les 14-15-16/9/2012, au Parlement flamand) est double : il s’agit, d’une part, de faire connaissance et ainsi installer une bonne dynamique de groupe et, d’autre part, d’explorer le thème. Partant de leurs expériences personnelles et des échanges qu’ils pourront avoir avec une ou plusieurs personne-ressources, les participants vont faire ressortir les aspects importants, à leurs yeux, du thème.
Lors du deuxième week-end (6-7/10/2012, au Parlement wallon), les participants poursuivent leur travail en identifiant les questions précises à adresser pour rendre leur avis au terme du processus. Dans cette perspective, ils choisissent eux-mêmes quelles personnes-ressources ils veulent rencontrer lors des débats publics du troisième week-end.
Ce dernier week-end (9-10-11/11/2012, au Sénat) se déroule en trois temps. D’abord, lors de débats, les participants rencontrent les personnes-ressources qu’ils ont choisies. Ensuite, ils écrivent leur avis, nourri par les deliberations et réflexions issues des trois week-ends. Enfin, ils rendent public leur avis lors de la soirée de clôture qui se tiendra le dimanche 11 novembre 2012 en début de soirée un an jour pour jour après le sommet citoyen du G1000.

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32 participants… Mais qui sont-ils?

Ce sont 32 citoyens qui se réuniront pour la troisième phase du G1000. Ce panel de 32 participants a été sélectionné de manière à ce qu’il soit le plus diversifié possible, avec une répartition proportionnelle en termes de sexe, de langue, d’âge, et de région. Le panel connaît aussi une diversité en termes de niveau d’éducation.

Le groupe se compose de 18 néerlandophones (en rouge sur la carte), de 12 francophones (en bleu sur la carte) et de 2 germanophones (en vert sur la carte), avec un nombre égal de femmes (16) et d’hommes (16).

Parmi eux, on compte 7 personnes âgées de plus de 60 ans, 7 autres nées après 1982 (les juniors), 9 personnes dans la tranche d’âge 30-45 ans et 9 autres encore entre 45 et 60 ans. Le plus jeune participant est âgé de 19 ans et le plus âgé, de 66 ans.
La carte ci-contre illustre bien la répartition équilibrée des participants selon leur région. Un citoyen habitant la région bruxelloise sera présent.

Concernant le niveau d’éducation, 12 personnes disposent d’un diplôme de l’enseignement secondaire, 8 ont étudié dans une haute école et 12 sont en possession d’un diplôme universitaire. Neuf des participants (dont 4 femmes, 5 hommes et 6 possédant un diplôme de l’enseignement supérieur) habitent la Belgique depuis peu ou depuis longtemps.

Au vu de tout ceci, nous pouvons affirmer que le groupe des citoyens sélectionnés parmi les 491 candidats volontaires (issus du G1000, du G’Offs et du G-Home) à cette troisième phase du G1000 est le plus diversifié possible en fonction des critères pre-établis.

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Le G1000 et La Fondation pour les Générations Futures

Le G1000 est une initiative de la Fondation des Générations Futures (www.fgf.be), une fondation d’utilité publique en Belgique qui a déjà plus de 10 ans d’expérience dans le domaine de la démocratie participative.

Le G1000, initialement le projet d’un groupe de citoyens, fut adopté dès le départ par cette organisation. Cela avait pour avantage que la responsabilité financière de l'initiative pouvait compter sur une Fondation avec une base solide et des années d'expérience. Aujourd'hui, le projet est entièrement intégré dans le fonctionnement de la Fondation pour les Générations Futures.

New site

Des nouvelles du site internet www.g1000.org

Alors que débute la troisième phase du G1000, nous avons pensé qu'il était temps de concevoir un nouveau site internet pour notre organisation. En effet, notre site initial avait été spécialement conçu pour tourner autour d'un événement: le sommet citoyen du 11 Novembre 2011. Depuis lors, notre organisation a évolué et beaucoup de choses se sont passées (comme l’analyse des propositions formulées par les citoyens lors du sommet, le développement de la méthodologie, l'organisation de la troisième phase, la prise de contacts à l'étranger, l’organisation d’un futur colloque sur la démocratie délibérative ...). Tout cela nécessitait de donner une structure nouvelle au site du G1000.
Paul, notre webmaster (l’un des nombreux bénévoles dynamiques) a développé un site convivial, doté d’une mise en page propre et sobre, d’une structure claire et d’une ligne du temps très utile.
Et nous en sommes fiers! Allez jeter un œil sur www.g1000.org, vous y trouverez tout ce que vous voulez savoir (et peut-être « partager ») sur l'origine, l'avenir, la vision et la façon de travailler de notre plate-forme pour l'innovation démocratique. Si vous ne l’avez pas déjà fait, vous pourrez aussi y signer le Manifeste du G1000. Et bien sûr, vos dons sont toujours les bienvenus !

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Le G1000 est actuellement à la recherche de bénévoles

Sans les bénévoles, pas de G1000. Nous sommes une grande équipe de bénévoles composée de chercheurs, de méthodologues, d’analystes de données, de chargés de communication, de traducteurs, de journalistes, de webmasters, d’infographistes, de personnes chargées de la collecte de fonds, de responsables de la logistique ...
Et pourtant, nous avons besoin de personnes supplémentaires pour notre projet ambitieux.
Actuellement, nous recherchons des traducteurs supplémentaires (notamment en allemand et en anglais), un coordinateur pour la cérémonie de clôture, des personnes pouvant aider la cellule communication et d’autres pour la collecte des fonds pour la phase suivante (la quatrième phase) du G1000.

Vous êtes intéressé(e)? N'hésitez pas à prendre contact avec l’un des collaborateurs suivants:
* Fatma Girretz, f.girretz@gmail.com
* François Jean-Jean, francois@jeanjean.be
* Min Reuchamps (coordination générale), min.reuchamps@ulg.ac.be
* Miriana Fratarolla (communication), pippa007@live.fr
* Cato Leonard (fondsenwerving), catoleonard@hotmail.com

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523-0812345-45 (communication: "Don G1000 - FGF").

Les dons à partir de 40 euros sont fiscalement déductibles.

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